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Contribuer à l’atteinte des Objectifs de développement durable grâce à l’internationalisation

Description

Les 17 Objectifs de développement durable (ODD) constituent un appel universel à l’action pour mettre fin à la pauvreté, protéger la planète et améliorer les conditions de vie et les perspectives de tous les citoyens et toutes les citoyennes du monde. Ces objectifs ont été adoptés par l’ensemble des États membres de l’Organisation des Nations Unies en 2015, dans le cadre du Programme de développement durable à l’horizon 2030.

Depuis 2015, ces objectifs mondiaux de développement durable ont été intégrés aux orientations stratégiques des établissements à l’échelle nationale et locale. Par l’entremise de la recherche, de l’enseignement et de l’engagement communautaire, les établissements d’enseignement jouent un rôle crucial dans l’atteinte des Objectifs de développement durable.

La communauté mondiale continue de composer avec la crise actuelle engendrée par le nouveau coronavirus et avec les clivages et inégalités croissants entre les États et au sein même des États. Pendant cette période, le rôle des établissements d’enseignement visant à contribuer positivement à leurs sociétés, dans toutes les facettes de la vie et de la communauté, est d’une importance vitale. Comment nos établissements peuvent-ils utiliser le cadre d’action des ODD pour stimuler et accroître ces efforts? Plus précisément, comment les leaders internationaux en éducation et les expert.e.s au sein de nos établissements peuvent-ils.elles contribuer à l’atteinte des objectifs de développement durable grâce à leurs efforts d’internationalisation?

Nous vous invitons à vous joindre à un groupe d’expert.e.s canadien.ne.s et internationaux.ales pour un échange d’idées et d’expériences sur le rôle que le secteur de l’éducation internationale peut et devrait jouer pour contribuer à l’atteinte des ODD, et pour aider à améliorer la qualité de vie de nos sociétés à l’échelle locale et mondiale.

Le coup d’envoi de ce panel sur le développement durable sera donné avec un discours principal de Stephen Lewis, ancien ambassadeur du Canada aux Nations Unies et ancien envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour le VIH/sida. Ce discours sera suivi d’une discussion avec modérateur.

IDP Connect

Contributeurs.trices (par ordre alphabétique)

Don BureauxDon Bureaux

Président, Collège communautaire de la Nouvelle-Écosse

Biographie

Don Bureaux occupe la présidence du Collège communautaire de la Nouvelle-Écosse (CCNÉ) depuis 2011. Le dévouement de M. Bureaux à l’égard de l’éducation des adultes perdure depuis plus de deux décennies, au cours desquelles il a travaillé avec des apprenant.e.s adultes dans les collèges et les universités, ainsi qu’en collaboration avec des organismes d’attribution de titres professionnels au Canada et à l’étranger. Au CCNÉ, il travaille à donner vie à la vision du Collège, soit transformer la Nouvelle-Écosse un apprenant à la fois. Avant son mandat comme président du CCNÉ, M. Bureaux a occupé les fonctions de vice-recteur à l’enseignement et vice-recteur aux ressources humaines et à la planification du Collège. Il a par ailleurs occupé de nombreux postes de direction dans le milieu de l’apprentissage tout au long de sa carrière. Son travail lui a permis de collaborer avec des chefs de file de l’éducation de toute l’Amérique du Nord, de l’Europe et de l’Asie pour créer des milieux d’apprentissage axés sur l’entrepreneuriat, qui rapprochent les collectivités et les industries. M. Bureaux est titulaire d’un certificat en éducation des adultes et d’un baccalauréat en administration des affaires obtenus à l’Université Acadia, en plus d’un MBA obtenu à l’Université Heriot-Watt en Écosse. Il est comptable professionnel agréé-comptable général accrédité et porte le titre international de conseiller commercial agréé de la Asia Pacific Economic Cooperation (APEC). Il a obtenu le titre de Fellow comptable professionnel agréé (FCPA) auprès de CPA Canada et celui de Fellow comptable général accrédité (FCGA) auprès de CGA Canada. Il a également été reconnu comme l’un des 50 meilleurs chefs de direction par l’Atlantic Business Magazine pendant cinq années consécutives (de 2015 à 2019) et a été intronisé au Temple de la renommée en 2019. M. Bureaux siège au conseil d’administration de nombreux organismes sans but lucratif en Nouvelle-Écosse.

Ángel CabreraÁngel Cabrera

Président, Georgia Institute of Technology

Biographie

Le 1er septembre 2019, Ángel Cabrera est devenu le 12e président du Georgia Institute of Technology. M. Cabrera est arrivé à Georgia Tech après avoir occupé pendant sept ans le poste de président de l’Université George Mason à Fairfax, en Virginie.

Georgia Tech, qui figure parmi les 10 meilleures universités de recherche publiques aux États-Unis, offre des programmes exceptionnels en affaires, en informatique, en conception, en génie, en arts libéraux et en sciences. Comptant 40 000 étudiant.e.s et plus de 170 000 diplômé.e.s qui évoluent dans le monde des affaires, dans l’industrie et au sein des gouvernements aux quatre coins du monde, Georgia Tech est reconnue internationalement pour la qualité de ses programmes d’enseignement et de recherche.

Au cours de la dernière année, sous la direction de M. Cabrera, des milliers de membres de la communauté de Georgia Tech ont contribué à l’élaboration d’un nouveau plan stratégique de 10 ans qui sera lancé à l’automne 2020. Le plan repose sur un nouvel énoncé de mission qui réaffirme l’engagement de l’institut à « former des leaders qui font progresser la technologie et améliorent la condition humaine ».

En tant qu’éducateur dans le domaine des affaires, M. Cabrera a joué un rôle clé dans la promotion de l’éthique professionnelle, de l’internationalisation et de la responsabilité sociale des entreprises. Dans le cadre de ses fonctions comme conseiller principal du Pacte mondial des Nations Unies lancé en 2007, il a été l’auteur principal des « Principes d’éducation à la gestion responsable », maintenant adoptés par plus de 700 écoles dans le monde. Il est également cofondateur de la University Global Coalition, un réseau mondial d’universités qui travaillent en partenariat avec les Nations Unies à l’appui des Objectifs de développement durable.

M. Cabrera a obtenu sa maîtrise et son doctorat en psychologie cognitive de Georgia Tech, où il était boursier Fulbright. Il est également titulaire d’un diplôme en génie des télécommunications (B.S. et M.S. en génie informatique et électrique) de l’Universidad Politécnica de Madrid. Par ailleurs, il a publié de nombreux articles dans des revues spécialisées et a fait l’objet de reportages ou de citations dans des médias de premier plan partout dans le monde. M. Cabrera est le premier natif d’Espagne à présider une université américaine.

Joy JohnsonJoy Johnson

Présidente et vice-chancelière de l’Université Simon-Fraser

Biographie

Joy Johnson est présidente et vice-chancelière de l’Université Simon-Fraser et professeure à sa Faculté des sciences de la santé.

Comme présidente, Mme Johnson a à cœur d’enrichir l’expérience d’apprentissage des étudiant.e.s, de contribuer à la réconciliation avec les Autochtones et de promouvoir l’équité, la diversité et l’inclusion dans l’ensemble de l’établissement.

Avant d’être nommée présidente, Mme Johnson a occupé le poste de vice-présidente, Recherche et relations internationales, de 2014 à 2020. En cette qualité, elle a supervisé l’évolution de la recherche de pointe, de l’innovation et de l’engagement international dans huit facultés. Sous sa direction, les revenus de recherche de l’Université Simon-Fraser sont passés de 103 millions de dollars en 2014 à 161 millions en 2020, soit la plus forte croissance pour une université canadienne. Parmi ses importantes réalisations, citons le lancement d’une initiative avant-gardiste sur les mégadonnées, l’accueil d’un des plus puissants superordinateurs du Canada et l’élaboration d’une stratégie d’innovation à l’échelle de l’Université.

Avant de se joindre à l’Université Simon-Fraser, Mme Johnson a connu une brillante carrière dans les milieux universitaire et de la recherche. Elle a obtenu son doctorat en sciences infirmières à l’Université de l’Alberta, puis a occupé un poste de professeure à la School of Nursing de l’Université de la Colombie-Britannique. Son engagement envers la recherche l’a conduite au poste de directrice scientifique pour l’Institut de la santé des femmes et des hommes, lequel fait partie des Instituts de recherche en santé du Canada. On lui doit d’avoir façonné le paysage canadien de la recherche pour s’assurer que le sexe est pris en considération dans la recherche en santé.

Mme Johnson a été élue membre de l’Académie canadienne des sciences de la santé et membre de la Société royale du Canada. Elle a également corédigé plus de 180 articles évalués par les pairs.

Stephen LewisStephen Lewis

Ancien ambassadeur du Canada aux Nations Unies et envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour le VIH/sida

Biographie

Stephen Lewis est l’un des commentateurs les plus influents du Canada en matière d’affaires sociales, de développement international et de droits de la personne. Le magazine TIME l’a nommé parmi les 100 personnes les plus influentes au monde.

M. Lewis est professeur de pratique en gouvernance mondiale à l’Institut d’étude du développement international de l’Université McGill et professeur distingué à l’Université Ryerson à Toronto. Il est président du conseil d’administration de la Stephen Lewis Foundation, qui se consacre à inverser la tendance du VIH/sida en Afrique, et cofondateur et codirecteur de AIDS-Free World, un organisme international de défense des droits.

M. Lewis est Fellow principal du projet Enough. Il est un membre sortant du conseil d’administration de la Clinton Health Access Initiative et membre émérite du conseil d’administration de la International AIDS Vaccine Initiative.

Il a été commissaire à la Commission mondiale sur le VIH et le droit et a été nommé en 2015 à la Commission Lancet sur la politique antidrogue et la santé. Le travail de M. Lewis auprès des Nations Unies s’étend sur plus de deux décennies. Il a, entre autres, été envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour le VIH/sida en Afrique de juin 2001 jusqu’à la fin de 2006.

De 1995 à 1999, M. Lewis a été directeur exécutif adjoint d’UNICEF. En 1997, il a été nommé par l’Organisation de l’unité africaine pour faire partie d’un groupe de personnalités éminentes chargé d’enquêter sur le génocide au Rwanda.

En 1993, M. Lewis est devenu coordonnateur de l’étude internationale sur l’« incidence des conflits armés sur les enfants », connue comme le rapport Machel. Ce dernier a été déposé aux Nations Unies en 1996. De 1984 à 1988, M. Lewis a été ambassadeur du Canada aux Nations Unies. À ce titre, il a présidé le comité qui a rédigé le Programme quinquennal des Nations Unies pour la reprise économique en Afrique. Il a également présidé la première Conférence internationale sur les changements climatiques, qui a donné lieu à la première politique complète sur le réchauffement planétaire.

De 1970 à 1978, M. Lewis a été chef du Nouveau Parti démocratique de l’Ontario, période pendant laquelle il est devenu chef de l’opposition officielle.

En 2007, le roi Letsie III du Royaume du Lesotho, a nommé M. Lewis chevalier commandeur du Most Dignified Order of Moshoeshoe. L’ordre porte le nom du fondateur du Lesotho et le titre de chevalier est la plus haute distinction du pays.

Santa OnoSanta Ono

Recteur et vice-chancelier, Université de la Colombie-Britannique

Biographie

Santa J. Ono, Ph. D., FSRC, MACSS, est le 15e recteur et vice-chancelier de l’Université de la Colombie-Britannique.

Nommé recteur et vice-chancelier en 2016, il siège également comme président du Regroupement des universités de recherche du Canada U15, au conseil d’administration d’Universités Canada et a siégé comme président du Research Universities’ Council of British Columbia. Il est membre du conseil consultatif international de l’Université Keio et des conseils d’administration de Fulbright et de MITACS. Il a aussi siégé aux conseils d’administration du American Council on Education, du Council on Competitiveness et à titre de conseiller en chef en matière d’innovation pour la province de la Colombie-Britannique.

Avant d’être nommé recteur et vice-chancelier de l’UBC, M. Ono a été le 28e recteur de l’Université de Cincinnati ainsi que vice-recteur à l’enseignement principal et adjoint au vice-recteur à l’enseignement à l’Université Emory.

Il a été nommé par le gouverneur John Kasich pour diriger le groupe de travail biopharmaceutique de l’Ohio et, pendant son mandat comme recteur de l’Université de Cincinnati, au conseil d’administration de Ohio Third Frontier, le programme de développement économique axé sur la technologie de l’Ohio.

Immunologiste moléculaire formé à l’Université de Chicago et à l’Université McGill, M. Ono a enseigné à l’Université John Hopkins, à l’Université Harvard et au University College London. Il a conseillé des gouvernements nationaux et régionaux en matière d’enseignement supérieur et de santé mentale. Il a aussi conseillé des entreprises comme GSK, Johnson & Johnson, Merck et Novartis en matière de recherche et développement.

Il a siégé à plusieurs comités éditoriaux, dont ceux des revues Immunology, Journal of Biological Chemistry, Journal of Immunology et Journal of Allergy & Clinical Immunology.

M. Ono a été admis comme fellow à la American Association for the Advancement of Science, à l’Académie canadienne des sciences de la santé, à la National Academy of Inventors,É.-U., et à la John Hopkins Society of Scholars.

Il est titulaire de doctorats honorifiques de l’Université Chiba et de la Vancouver School of Theology, en plus d’avoir reçu le Reginald Wilson Diversity Leadership Award du American Council on Education, le Professional Achievement Award de l’Université de Chicago, le Grand Challenges Hero Award de UCLA et le NAAAP 100 Award de la National Association of Asian American Professionals.

Mamokgethi PhakengMamokgethi Phakeng

Vice-chancelière, Université de Cape Town

Biographie

Mamokgethi Phakeng (anciennement Setati) a entrepris son mandat en tant que vice-chancelière de l’Université du Cap (Afrique du Sud) le 1er juillet 2018, après y avoir occupé le poste de vice-chancelière adjointe à la recherche et à l’internationalisation depuis janvier 2017. Avant cette nomination, elle a été pendant cinq ans directrice adjointe à la recherche et à l’innovation à l’Université d’Afrique du Sud (Unisa), et ce, après avoir passé trois ans à titre de doyenne exécutive du Collège des sciences, de l’ingénierie et des technologies au sein du même établissement. Elle est titulaire d’un doctorat en enseignement des mathématiques de l’Université du Witwatersrand et une scientifique réputée de niveau B1 au classement NRF, avec plus de 80 rapports de recherche et la direction de cinq recueils à son actif. Elle a été invitée à prononcer plus de 40 discours liminaires/plénières à des congrès internationaux et en tant que professeure invitée à des universités partout dans le monde (Allemagne, Australie, Botswana, Brésil, Canada, Corée du Sud, Danemark, États-Unis, Finlande, Inde, Italie, Jamaïque, Kenya, Lesotho, Liban, Maroc, Mexique, Mozambique, Namibie, Nouvelle-Zélande, Pakistan, Royaume-Uni, Sénégal, Suède et Suisse). Elle a remporté de nombreux prix pour ses recherches et son travail communautaire, y compris l’Ordre du Baobab (Argent) qui lui a été conféré par le président de l’Afrique du Sud en avril 2016. En août 2014, CEO Magazine l’a nommée femme universitaire la plus influente d’Afrique et, en août 2016, on lui a octroyé le prestigieux prix Businesswoman of the Year Award dans la catégorie Éducation. En juillet 2019, l’Université de Bristol lui a conféré un doctorat honorifique en sciences pour reconnaître son leadership en matière d’enseignement des mathématiques en Afrique du Sud.

Connue sous le nom Kgethi, Mme Phakeng a été élue membre de la Academy of Science of South Africa (ASSAf) en novembre 2007, membre honoraire de la Golden Key International Honour Society en mai 2009, membre honoraire à vie de la Association for Mathematics Education of South Africa (AMESA) en juillet 2009 et fellow de l’Académie africaine des sciences en 2018. En 2008, elle est devenue la première chercheuse sud-africaine noire à être nommée à la coprésidence d’une étude commandée par la International Commission on Mathematical Instruction. L’étude intitulée Mathematics Education and Language Diversity a été finalisée et publiée en 2016, ouvrage qu’elle a codirigé.

Elle est membre du conseil d’administration de la Oprah Winfrey Leadership Academy for Girls (OWLAG) et administratrice de la FirstRand Foundation, de la South African Student Solidarity Foundation for Education (SASSFE) et du Pearson Marang Education Trust (PMET). En 2016, elle a été nommée par le vice-président de l’Afrique du Sud de l’époque, Cyril Ramaphosa, pour présider le comité permanent sur l’enseignement des mathématiques et des sciences du Human Resource Development Council. Elle a siégé au conseil d’administration du Council for Scientific and Industrial Research (CSIR) et a présidé son comité sur le développement de la recherche et l’innovation de janvier 2015 à septembre 2017. En 2011, elle est devenue la première femme élue à la présidence de la collation des grades de l’Université du Witwatersrand et a assumé ce rôle pendant cinq ans, jusqu’en 2016. Elle a été la première femme à occuper la présidence nationale de la Association for Mathematics Education of South Africa (AMESA) de 2002 à 2006, présidente fondatrice du conseil d’administration de la South African Mathematics Foundation (SAMF) de 2004 à 2006, et secrétaire et membre du comité exécutif du International Group for the Psychology of Mathematics Education (PME) de 2003 à 2007.

Mme Phakeng a créé la Adopt-a-learner Foundation (www.adopt-a-learner.com), un organisme sans but lucratif fondé en 2004 qui offre un soutien financier et éducatif aux étudiant.e.s des quartiers défavorisés et régions rurales afin de leur permettre d’acquérir les qualifications nécessaires pour accéder à l’éducation postsecondaire.

Reeta RoyReeta Roy

PDG, Mastercard Foundation

Biographie

Leader dévouée et défenseure des gens les plus vulnérables de la planète, Reeta Roy a travaillé sans relâche pour bâtir une fondation à la fois collaborative et reconnue pour son travail à long terme. Sous la gouverne de Mme Roy, la Mastercard Foundation a consacré plus de 2,6 milliards de dollars américains aux programmes d’enseignement, de développement des compétences et d’inclusion financière, principalement en Afrique. Ces programmes ont atteint 38 millions de personnes vivant dans la pauvreté, les aidant à améliorer leur vie et la situation de leur famille et de leur communauté.

Mme Roy est membre du African Transformation Leadership Panel et est régulièrement sollicitée par les Nations Unies et par des organismes régionaux en Afrique comme le African Center for Economic Transformation afin de proposer des solutions pour l’emploi chez les jeunes. Avant de se joindre à la Fondation, Mme Roy était vice-présidente du volet citoyenneté et politiques mondiales chez Abbott et vice-présidente du Abbott Fund, le bras caritatif de la Société.

Croyant fermement en l’importance de l’écoute, Mme Roy aime tout particulièrement travailler sur le terrain, soit directement auprès de ceux et celles que la Fondation dessert. Le Son enfance en Malaisie l’a aidée à développer une capacité d’écoute et une empathie avec lesquelles elle aborde le travail de la Fondation. Mme Roy a bénéficié de bourses lui ayant permis de faire ses études, et ses mentors continuent de soutenir sa progression en tant que leader.

Modérateur

Janaka RuwanpuraJanaka Ruwanpura

Vice-recteur à l’enseignement et vice-recteur associé à la recherche (international) à l’Université de Calgary

Biographie

Janaka Ruwanpura est vice-recteur à l’enseignement et vice-recteur associé à la recherche (international) à l’Université de Calgary, au Canada. Il est également l’actuel président exécutif élu de la Commission of International Initiatives de la Association of Public and Land-Grant Universities (APLU). Il est le premier Canadien et non-Américain à présider un conseil ou une commission de l’APLU. Il a été professeur titulaire, titulaire de la chaire de recherche du Canada sur les systèmes de gestion des projets et un des directeurs fondateurs du Centre for Project Management à la Schulich School of Engineering. M. Ruwanpura a obtenu un baccalauréat ès sciences (avec distinction) de l’Université de Moratuwa, au Sri Lanka, une maîtrise ès sciences en gestion de la construction de l’Université Arizona State et un doctorat en génie et en gestion de la construction de l’Université de l’Alberta. Il a reçu de nombreux prix nationaux et internationaux pour ses travaux en enseignement, recherche, innovation, leadership, service, études supérieures, internationalisation et en tant que diplômé émérite. Il a mis en avant de nouvelles initiatives internationales à l’Université de Calgary, y compris l’élaboration et la mise en œuvre de modèles de diplômes collaboratifs, le codéveloppement d’initiatives et de sites de recherche mondiaux et la mobilisation de fonds pour la recherche et les infrastructures, de même que l’établissement et la promotion de nouveaux partenariats de recherche dans de nombreux pays, en plus d’avoir fait du lobbying pour la création de bourses de développement international. Grâce à ces initiatives, l’Université de Calgary a remporté six prix d’excellence et d’innovation de diverses organisations comme le BCEI, l’APLU et l’Association des administrateurs de l’éducation internationale (AAEI). En 2020, la Ville de Calgary lui a octroyé le International Achievement Award. M. Ruwanpura est ingénieur professionnel certifié en Alberta, métreur agréé au Canada et membre agréé de la Royal Institution of Chartered Surveyors.